... tombé
sur un article rafraîchissant sur les risques qu’il y a à boire de l’eau au
robinet aux Etats-Unis : pollution en degrés astronomiques bien au-dessus
du seuil de tolérance déjà assez élevé, avec des substances nullement illégales
mais bien plus toxiques que les drogues les plus dures, arsenic, chlore,
sulfates, et j’en passe des cancérigènes aux noms barbares. Seize millions d’Américains meurent chaque
année d’avoir bu de l’eau au robinet : au lieu de quoi, les
irresponsables corporations politico-pharmaceutiques terrorisent les
populations auxquelles elles administrent de force un vaccin contre un virus qui a fait moins de victimes que la grippe saisonnière, mais qui a
l’avantage d’encourager les industries suisses et autres à piller et polluer
les dernières forêts vierges de la
planète! Et avec ça, les mêmes empoisonneurs font tout pour interdire à leurs
femmes dégoûtées d’avorter, reproduction des élites avant tout ! Quand ils
infectent toute la Terre de leurs délétères instincts sécuritaires ! Mais
j’ai dans le cœur l’idée bien
enracinée que dans le combat, qui s’annonce bien plus féroce que celui des
idéologies sanglantes que Nietzsche voyait se lever à l’aube du 20ème
siècle, dans ce polemos qui décidera
de qui est libre ou esclave, mortel ou immortel, entre l’humanité dénaturée et
la nature conspuée, c’est celle-ci
qui l’emportera ! Non, il n’y aura ni Messie ni Surhomme, et c’est tant
mieux, car tous deux entraînent à leur suite des hordes de sous-hommes ; il n’y
aura peut-être plus d’homme du tout, ou alors il lui faudra se transformer, et
non juste évoluer, en quelque Un d’inimaginable, un animal enfin se sachant d’intelligence avec la Nature (y compris
« humaine »), comprenant
ses besoins, ses plaisirs et ses colères, sa dureté et ses douceurs.
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